Au XlVe siècle, le château fort de Theizé faisait partie des domaines du chapitre de Saint-Jean. C'était l'époque où les Anglais portaient partout la guerre. Dans la crainte de le voir tomber en mains ennemies (celles des Tard-venus) et devenir une puissante place de guerre, les chanoines comtes de Lyon le firent raser en 1363. Lorsque le calme fut rétabli, Theizé reconstruisit ses murailles d'enceinte, et à la place du château fort il y eut un prieuré dépendant de l'abbaye de Savigny.
|
Lire la suite...
|
|
Le château de Rapetour qui ressemble à un Castello Toscan est un bâtiment très ancien qui comprend un donjon du XIIIème siécle et une suite d'ajouts architecturaux notamment une tour carrée édifiée pendant la guerre de cent ans. Au début du XVIème sera construite dans la cour intérieure du château une galerie renaissance sur trois niveaux comparable aux plus belles cours du vieux Lyon ou de Villefranche.
|
Lire la suite...
|
Sous l'impulsion de la commune et de l'Animation Culturelle, la restauration de l'ancienne église a été menée de mars 1982 à juillet 1985 grâce à des stages de jeunes bénévoles dirigés par JG. Mortamet, architecte en chef des Monuments Historiques. Inscription par arrêté du 18 février 1926.Edifice protégé au titre des Monuments Historiques
La nef remonte à l'époque romane. Seul le mur nord avec son « armarium » de pierre, est intégralement d'époque. On distingue encore sur le mur sud, la trace d'ouvertures romanes antérieures à la construction du bas-côté.
|
Lire la suite...
|
La chapelle saint Hippolyte |
|
|
|
Un sanctuaire commémoratif de la victoire des Francs chevelus sur les Sarrasins en ce lieu de Bourland aurait été érigé il y a fort longtemps, sous le patronage de saint Hippolyte. On y venait en pèlerinage de toute la région, car on obtenait beaucoup de miracles par l'intercession du saint.
|
Lire la suite...
|
Au début des années 1980, la commune de Theizé comptait encore 25 cabanes en pierre sèche, reparties aux environs du Beauvallon, du Bansillon et de Ruissel. Elles ont été étudiées par Madeleine Cahen puis par René Corgier et publiées dans la revue du Centre d'études et de recherches sur l'architecture vernaculaire (CERAV).Leur dénomination locale est celle de "cabane" (on disait "la cabane des autrichiens", "la cabane du blanc", etc..) mais avec la pression du tourisme et des médias, elles sont parfois baptisées "Cadoles" ou "Cabornes".
|
Lire la suite...
|
|
|
|
<< Début < Précédent 1 2 Suivant > Fin >> |
Page 1 sur 2 |